11 novembre 2007
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17:04
Le préfet du Val de Marne Bernard Tomasini, qui porte la grosse casquette à l'extrême droite (sur la photo, il faut le préciser), a fait interpeller pour l'exemple un homme qui avait pénétré clandestinement sur le territoire français il y a 100 ans. En effet, La dernière loi Hortefeux a rendu ce délit imprescriptible.
On se souvient que dans les premiers temps du combat de nicolas sarkozy pour contenir les hordes qui se pressent à nos portes, Tomasini avait courageusement expulsé les travailleurs réguliers mais colorés du squat de Cachan, les laissant à même le trottoir. Leur relogement dans le gymnase par le maire local avait alors été vécu comme un affront.
Le voilà lavé.
PS: Ah zut, le service illustrations de "sauce" a commis une erreur. Le vieillard encadré par les hommes en uniforme est en réalité Lazare Ponticelli, aidé de légionnaires (son corps d'origine) pour un dépôt de gerbe le 11 novembre 2006. Il est bien rentré sur le territoire en 1907 mais eu égard à ses états de service, Tomasini l'a épargné.
Il est vrai qu'en d'autres époques la France a su apprécier la valeur des hommes présents sur son territoire, fussent-ils étrangers.
Extrait de l'article de wikipedia: "Arrivé en France, il reste trois jours et trois nuits dans la Gare de Lyon, jusqu'à ce qu'un chef de gare le remarque. Celui-ci tenta de l'interroger sur sa présence dans la gare mais Lazare, ne connaissant pas le français, ne put que lui répéter le nom d'un bistrotier, point de passage des Italiens de son village travaillant à Paris et dont on lui avait parlé avant son départ. Par chance, le chef de gare reconnut le nom et le conduisit chez le cafetier dont la femme le prit sous son aile."
La police de 1907 préfigurait déjà le laxisme post-68. Heureusement aujourd'hui ces individus étrangers qui zonent et ne connaissent pas le français, donc hors-critères, sont expulsés après procédure raccourcie, et les éventuels malfaisants qui les auraient hébergés sont lourdement condamnés.
On se souvient que dans les premiers temps du combat de nicolas sarkozy pour contenir les hordes qui se pressent à nos portes, Tomasini avait courageusement expulsé les travailleurs réguliers mais colorés du squat de Cachan, les laissant à même le trottoir. Leur relogement dans le gymnase par le maire local avait alors été vécu comme un affront.
Le voilà lavé.
PS: Ah zut, le service illustrations de "sauce" a commis une erreur. Le vieillard encadré par les hommes en uniforme est en réalité Lazare Ponticelli, aidé de légionnaires (son corps d'origine) pour un dépôt de gerbe le 11 novembre 2006. Il est bien rentré sur le territoire en 1907 mais eu égard à ses états de service, Tomasini l'a épargné.
Il est vrai qu'en d'autres époques la France a su apprécier la valeur des hommes présents sur son territoire, fussent-ils étrangers.
Extrait de l'article de wikipedia: "Arrivé en France, il reste trois jours et trois nuits dans la Gare de Lyon, jusqu'à ce qu'un chef de gare le remarque. Celui-ci tenta de l'interroger sur sa présence dans la gare mais Lazare, ne connaissant pas le français, ne put que lui répéter le nom d'un bistrotier, point de passage des Italiens de son village travaillant à Paris et dont on lui avait parlé avant son départ. Par chance, le chef de gare reconnut le nom et le conduisit chez le cafetier dont la femme le prit sous son aile."
La police de 1907 préfigurait déjà le laxisme post-68. Heureusement aujourd'hui ces individus étrangers qui zonent et ne connaissent pas le français, donc hors-critères, sont expulsés après procédure raccourcie, et les éventuels malfaisants qui les auraient hébergés sont lourdement condamnés.